Les "coryphées" ont parlé. Quarante scientifiques suisses viennent de s'exprimer sur ce à quoi devrait, ou plutôt devrait ressembler, notre avenir alimentaire. L'esprit de mise sous tutelle souffle par toutes les fissures. Il s'agit donc de tirer à temps la sonnette d'alarme.
Continuez...Le terme anglais "hype" signifie "exagération". Il décrit une exagération. Selon Wikipedia, le "battage médiatique" désigne donc des "nouvelles amplifiées par les médias de masse". C'est sans aucun doute le cas lorsque, depuis des années, différents médias parlent et écrivent, sans aucun sens critique et sans rapport avec la situation réelle, d'un "engouement pour le véganisme". Ils sont ainsi tombés dans le piège d'une infime minorité radicale. La chute du producteur "Beyond Meat" ainsi que le "Plant Based Food Report 2023" de Coop donnent une image réelle de la réalité.
Continuez...Selon un article de la Neue Zürcher Zeitung, l'étude "Indirekte Kosten unterschiedlicher Ernährungsstile in der Schweiz" (Coûts indirects des différents styles alimentaires en Suisse) affirme que les mangeurs de viande engendrent des coûts plus importants que les végétaliens. C'est un non-sens ! Une réplique de l'interprofession de la filière viande suisse Proviande montre à quoi ressemble la réalité.
Continuez....... même si divers médias voudraient nous vendre de cette façon. Seuls 6,5 % de la population totale s'abstiennent de consommer de la viande. Les résultats d'une étude allemande sont probablement également valables dans ce pays.
Continuez...En organisant pour la deuxième fois un prix de la communication entre ses membres, l'Union Professionelle Suisse de la Viande entend mettre en valeur des mesures de communication exemplaires pour la branche et promouvoir la qualité des activités de communication de ses membres. Parmi les lauréats figurent deux bouchers de Suisse romande.
Continuez..."Elle est instruite, urbaine et stylistiquement compétente - et elle est bouchère. Tanya Giovanoli, originaire des Grisons, représente un nouveau mouvement dans la profession de boucher. Leur conviction commune : Oui, vous pouvez manger de la viande en toute bonne conscience. Mais cela dépend du type de viande".
Continuez...L’agriculture et la branche carnée sont facilement clouées au pilori, considérées comme des fossoyeurs du climat. De récentes recherches vont cependant dans une autre direction.
Continuez...Jean-Luc Bezençon, conseiller cantonal du canton de Vaud, lutte courageusement et avec succès contre les tentatives des autorités de patronner les visiteurs des restaurants du quartier des arts de Lausanne.
Continuez...Un grand merci à tous ceux qui, malgré l'aggravation constante de la situation de la couronne, subviennent inlassablement et souvent jusqu'à l'épuisement, à nos besoins.
Continuez...Cela ne fait aucun doute, la viande est un élément précieux de l’alimentation humaine et indispensable depuis des millénaires. Et pourtant, cette vision n’est malheureusement pas incontestée.
Depuis pas mal de temps déjà, la grande majorité de la population qui aime et apprécie la viande se voit soumise à d’importantes tentatives de pression de la part de diverses organisations dont le but est clairement de créer un sentiment de «honte de la viande». Elles tentent de clouer au pilori celles et ceux qui apprécient la viande – en recourant fréquemment à des déclarations saugrenues ou carrément fausses – et en viennent même à les accuser de causer d’importants dommages à l’environnement avec leur consommation de viande, et même d’agir contre la morale. À cela s’ajoute un nombre croissant de tentatives de la part des autorités visant à imposer à la population comment elle doit s’alimenter et ce qu’elle doit manger pour faire «juste», avec la viande qui se trouve le plus souvent du côté des perdants. L’association
CarnaLibertas a pour objectif de contrecarrer toutes ces tentatives et cette tendance à mettre la population sous tutelle.
Pour la liberté de choix et la tolérance CarnaLibertas, un nom composé des termes en latin pour viande et liberté, vise à soutenir et promouvoir une consommation responsable de viande et de produits carnés. Cette nouvelle plateforme donne une voix à cette grande majorité de personnes qui apprécient la viande et défend leurs intérêts et leur liberté de choix. Comme condition indispensable, cette association revendique un comportement durable et un traitement orienté vers le bien-être et la dignité des animaux, de même que le total respect et l’application sans compromis de la stricte législation suisse sur la protection des animaux.
CarnaLibertas est très ouverte et cherche à toucher tous les cercles de la population et de la société. Sous la devise «Touchez pas à nos assiettes – libre choix pour tous», l’association demande plutôt que chaque consommateur et chaque consommatrice ait le droit et la liberté de déterminer la composition de leurs menus, dans la meilleure tradition suisse. Et cette demande pour une liberté de choix signifie aussi que la tolérance envers toutes les idées et toutes les habitudes alimentaires qui existent fait partie inhérente de l’idée qui est à la base de l’association.
Devenir membre et se faire entendre Celui qui partage les objectifs de l’association et souhaite apporter une contribution à la liberté de choix en matière d’alimentation peut devenir membre pour 20 francs (individuel) ou pour 50 francs (famille) par année et contribuer ainsi à donner plus de poids à la préoccupation commune. Vous trouverez plus d’information et comment s’inscrire sous www.carnalibertas.ch.